![[candidature] Ayamesque Empty](https://2img.net/i/empty.gif)
Bontariens ou Brakmariens ou Neutres, Bonjour !
IRL
De manière classique je me présente : je m'appelle Julie, j'ai 21 ans bientôt (le 15 juillet) et comme chaque année je suis toujours contente de vieillir un peu plus même si dans quelques temps, à l'apparition des premières rides, j'utiliserai probablement des crèmes miracles anti-âge.
Dans la vie je suis en fac d'anglais pour ensuite devenir professeur des écoles car j'aime l'idée de transmettre un savoir comme la technique ancestrale de calcul avec Picbille, héros de l'arithmétique ! Sinon j'aime beaucoup la course à pied, les jeux vidéos, les voyages (et les trucs kawaii <3 )
Je suis une personne ouverte d'esprit, qui aime s'investir et sur qui on peut compter. Cependant je n'ai pas beaucoup de répartie et j'ai parfois du mal à comprendre le second degré ce qui peut me rendre susceptible mais il suffit de m'expliquer, c'est pas plus compliqué qu'avec un Iop hein !
Dans les jeux vidéos j'ai toujours plein de bonne volonté, j'aime m'entraîner mais… Je ne brille presque jamais sauf dans la défaite où je suis une perdante exemplaire : « quelle positivité même dans la débandade ! » Disent mes équipiers.
J'ai commencé Dofus quand j'avais 12 ans sur Silouate avec Ayamesque, l'increvable eniripsa que je fais voyager de serveur en serveur. J'ai fait partie de plusieurs guildes mais aucune ne m'a réellement séduite car il n'y avait pas cette idée de famille. Les joueurs étaient très individuels et personne ne parlait vraiment. Il y avait souvent des problèmes à cause des droits ou des rangs donc des divisions se créaient fréquemment. J'ai toujours voulu faire partie d'une guilde active où je pourrais jouer un rôle. J'ai souvent fait des longues pauses dans Dofus et actuellement j'ai repris il y a quelques jours après 2 ans de pause. C'est assez difficile d'assimiler toutes les nouveautés… mais on m'aide !
IG
En jeu c'est Ayamesque, une eniripsa feu niveau 141 mais après 9 ans ainsi je pense qu'un petit relooking s'impose au niveau de l'apparence et peut être une petite modification de pseudonyme. Mes objectifs dans ma vie dofussienne sont de passer tous les métiers niveau 200 et de collectionner tous les familiers et mon rêve est de passer niveau 200. Mais je me laisse du temps pour ce dernier, une bonne décennie environ…hum.
HISTOIRE
Il y a longtemps existait un couple d'Eniripsas qui adorait parcourir le monde. Leur passion ? La fabrication de potions et de remèdes. En voyageant ils découvraient de nouvelles plantes et de nouvelles recettes dont ils étaient très fiers. D'ailleurs ils recevaient des commandes de partout dans le monde : les princes comme les paysans s'arrachaient leurs petites fioles et onguents. Un beau jour une bonne nouvelle arriva pour nos deux lapinos : madame était enceinte. Ils continuèrent leur périple mais quand le dernier mois arriva ils décidèrent de s'installer dans la jolie cité de Sufokia.
Madame accoucha d'une jolie petite eniripsa qu'elle nomma Ayamesque. Dès son plus jeune âge ses parents l'initièrent à la fabrication de potions et à la récolte de plantes. Mais au bout de cinq années passées à Sufokia, les parents d'Ayamesque commençaient à déprimer dans leur maison. Ils rêvaient encore d'aventures ! Si bien que quand la petite Aya fut âgée de 8 ans, ils la confièrent à ses grands-parents maternels : un drôle de duo formé d'une Eniripsa et d'un Enutrof qui habitait une grande bâtisse de Bonta entre la banque et l'atelier des alchimistes. Ses parents lui envoyaient régulièrement des nouvelles concoctions ou un nouveau familier mais ils ne rentraient jamais voir leur fille.
Aya fut donc élevée par ses grands-parents qui s'étaient donnés pour mission de lui apprendre les choses importantes dans la vie. Cependant, vu la nature de ses grands-parents, on lui enseigna autant les préceptes eniripsas qu'enutrofs. Ainsi elle pris de la déesse Eniripsa l'envie de prodiguer des soins et d'amener la paix, et du dieu Enutrof l'importance des kamas. Elle avait ça dans le sang la loi du marché : à 10 ans elle proposait déjà un service d'entretien des dragodindes et autres familiers à tous les voyageurs qui passaient par Bonta ce qui lui rapportait assez de kamas pour s'amuser à la foire du Trool. Son grand-père était fier d'elle car Aya n'hésitait pas à cumuler plusieurs petits emplois dans tout Bonta afin d'amasser des kamas pour se payer la panoplie d'Elya Wood. « Travailler plus pour kamasser plus » disait-il.
![[candidature] Ayamesque <a href=](<a href=)
![[candidature] Ayamesque Elya_w11](https://i.servimg.com/u/f18/19/26/39/67/elya_w11.jpg)
" />
Quand Ayamesque eut 13 ans sa grand-mère décida qu'il était grand temps de devenir une Eniripsa de premier ordre. Aussi Aya fut envoyée à Amakna, dans le temple des Eniripsas sous la direction de la légendaire Elya Wood, son idole. Là-bas elle y apprit l'art du soin ainsi que toute la subtilité de la philosophie Eniripsa comme comment apporter la paix « Pas besoin de guerroyer lorsqu'on sait pacifier son ennemi » d'une certaine manière « d'un coup de baguette, explose la braguette ! ».
Lors de son apprentissage elle se révéla être très douée dans les tâches d'artisanat mais peu convaincante quand il s'agissait de se battre. Ainsi à 23 ans, quand sa formation fut terminée les prêtresses eniripsas lui décernèrent le titre d'Eniripsa de premier ordre pour les valeurs qu'elle défendait : le respect, l'amitié et la détermination. On appréciait sa naïveté et on saluait sa bonne humeur et son habileté à rester calme en toute circonstance. Cependant on lui conseilla vivement de s'orienter vers l'artisanat, les combats épiques et la voie des Héros il fallait laisser ça aux Eniripsas qui savaient faire.
Fraîchement diplômée, Aya commença à travailler dans plusieurs branches : elle se mit en tête de devenir une grande artisane du monde des douze et elle souhaitait également ouvrir un refuge pour familiers.
Ses grands-parents restés à Bonta l'encouragèrent dans cette voie mais ils lui dirent aussi qu'il ne fallait pas laisser tomber son envie de devenir une héroïne si c'est ce qu'elle voulait vraiment. « Tous les chemins mènent aux Dofus » affirmaient-ils. « Améliore-toi et toi aussi tu brilleras. » Ils lui conseillèrent d'entrer dans une guilde, comme eux quand ils étaient jeunes, car il suffit de trouver la bonne pour progresser et trouver sa place. « Des héros se trouvent dans certaines guildes, tu les reconnaitras quand tu les verras : c'est simple tu voudras leur ressembler ». Suite à ces conseils elle décrocha alors un petit rôle d'acolyte dans plusieurs guildes mais la concurrence et la soif de kamas devenues trop néfaste pour certains l'incitèrent à passer son chemin et à continuer sa quête de guilde.
Un jour, elle lut une annonce qui disait qu'une guilde, « Marchombre », recrutait. Elle avait rencontré auparavant un membre de cette fameuse guilde et il lui avait donné envie de tenter sa chance…
« maîtrise de l'amaknéen ? Ça devrait le faire, je ne viens pas du campement des bworks non plus. »
« aucune limite de cercle ? Aucun CV (conquêtes et victoires) des donjons réussis à fournir ? Mais c'est fantastique pour une petite eni comme moi ! »
Elle continua la lecture du parchemin…
« … la période d'essai dure 2 semaines puis vous devrez réussir une quête. »
« Une quête ?! Mais j'ai jamais eu la moyenne dans cette matière de tout mon apprentissage ! »
Elle s'étala sur le sol tel un Flaqueux² mais se ressaisit vite :
« Moi, abandonner ? Jamais ! C'est décidé : moi aussi je deviendrai une héroïne ! »
« si ça saigne, ça peut se soigner » (proverbe eniripsa)
* plusieurs de mes citations sont des proverbes eniripsas de Les Mains d'Eniripsa de N.Devos et A.Dewaele
² le peuple des Flaqueux dont le héros est Persimol devient liquide comme de la bave à la vue du danger
Dans la vie je suis en fac d'anglais pour ensuite devenir professeur des écoles car j'aime l'idée de transmettre un savoir comme la technique ancestrale de calcul avec Picbille, héros de l'arithmétique ! Sinon j'aime beaucoup la course à pied, les jeux vidéos, les voyages (et les trucs kawaii <3 )
Je suis une personne ouverte d'esprit, qui aime s'investir et sur qui on peut compter. Cependant je n'ai pas beaucoup de répartie et j'ai parfois du mal à comprendre le second degré ce qui peut me rendre susceptible mais il suffit de m'expliquer, c'est pas plus compliqué qu'avec un Iop hein !
Dans les jeux vidéos j'ai toujours plein de bonne volonté, j'aime m'entraîner mais… Je ne brille presque jamais sauf dans la défaite où je suis une perdante exemplaire : « quelle positivité même dans la débandade ! » Disent mes équipiers.
J'ai commencé Dofus quand j'avais 12 ans sur Silouate avec Ayamesque, l'increvable eniripsa que je fais voyager de serveur en serveur. J'ai fait partie de plusieurs guildes mais aucune ne m'a réellement séduite car il n'y avait pas cette idée de famille. Les joueurs étaient très individuels et personne ne parlait vraiment. Il y avait souvent des problèmes à cause des droits ou des rangs donc des divisions se créaient fréquemment. J'ai toujours voulu faire partie d'une guilde active où je pourrais jouer un rôle. J'ai souvent fait des longues pauses dans Dofus et actuellement j'ai repris il y a quelques jours après 2 ans de pause. C'est assez difficile d'assimiler toutes les nouveautés… mais on m'aide !
IG
En jeu c'est Ayamesque, une eniripsa feu niveau 141 mais après 9 ans ainsi je pense qu'un petit relooking s'impose au niveau de l'apparence et peut être une petite modification de pseudonyme. Mes objectifs dans ma vie dofussienne sont de passer tous les métiers niveau 200 et de collectionner tous les familiers et mon rêve est de passer niveau 200. Mais je me laisse du temps pour ce dernier, une bonne décennie environ…hum.
HISTOIRE
Il y a longtemps existait un couple d'Eniripsas qui adorait parcourir le monde. Leur passion ? La fabrication de potions et de remèdes. En voyageant ils découvraient de nouvelles plantes et de nouvelles recettes dont ils étaient très fiers. D'ailleurs ils recevaient des commandes de partout dans le monde : les princes comme les paysans s'arrachaient leurs petites fioles et onguents. Un beau jour une bonne nouvelle arriva pour nos deux lapinos : madame était enceinte. Ils continuèrent leur périple mais quand le dernier mois arriva ils décidèrent de s'installer dans la jolie cité de Sufokia.
Madame accoucha d'une jolie petite eniripsa qu'elle nomma Ayamesque. Dès son plus jeune âge ses parents l'initièrent à la fabrication de potions et à la récolte de plantes. Mais au bout de cinq années passées à Sufokia, les parents d'Ayamesque commençaient à déprimer dans leur maison. Ils rêvaient encore d'aventures ! Si bien que quand la petite Aya fut âgée de 8 ans, ils la confièrent à ses grands-parents maternels : un drôle de duo formé d'une Eniripsa et d'un Enutrof qui habitait une grande bâtisse de Bonta entre la banque et l'atelier des alchimistes. Ses parents lui envoyaient régulièrement des nouvelles concoctions ou un nouveau familier mais ils ne rentraient jamais voir leur fille.
Aya fut donc élevée par ses grands-parents qui s'étaient donnés pour mission de lui apprendre les choses importantes dans la vie. Cependant, vu la nature de ses grands-parents, on lui enseigna autant les préceptes eniripsas qu'enutrofs. Ainsi elle pris de la déesse Eniripsa l'envie de prodiguer des soins et d'amener la paix, et du dieu Enutrof l'importance des kamas. Elle avait ça dans le sang la loi du marché : à 10 ans elle proposait déjà un service d'entretien des dragodindes et autres familiers à tous les voyageurs qui passaient par Bonta ce qui lui rapportait assez de kamas pour s'amuser à la foire du Trool. Son grand-père était fier d'elle car Aya n'hésitait pas à cumuler plusieurs petits emplois dans tout Bonta afin d'amasser des kamas pour se payer la panoplie d'Elya Wood. « Travailler plus pour kamasser plus » disait-il.
" />Quand Ayamesque eut 13 ans sa grand-mère décida qu'il était grand temps de devenir une Eniripsa de premier ordre. Aussi Aya fut envoyée à Amakna, dans le temple des Eniripsas sous la direction de la légendaire Elya Wood, son idole. Là-bas elle y apprit l'art du soin ainsi que toute la subtilité de la philosophie Eniripsa comme comment apporter la paix « Pas besoin de guerroyer lorsqu'on sait pacifier son ennemi » d'une certaine manière « d'un coup de baguette, explose la braguette ! ».
Lors de son apprentissage elle se révéla être très douée dans les tâches d'artisanat mais peu convaincante quand il s'agissait de se battre. Ainsi à 23 ans, quand sa formation fut terminée les prêtresses eniripsas lui décernèrent le titre d'Eniripsa de premier ordre pour les valeurs qu'elle défendait : le respect, l'amitié et la détermination. On appréciait sa naïveté et on saluait sa bonne humeur et son habileté à rester calme en toute circonstance. Cependant on lui conseilla vivement de s'orienter vers l'artisanat, les combats épiques et la voie des Héros il fallait laisser ça aux Eniripsas qui savaient faire.
Fraîchement diplômée, Aya commença à travailler dans plusieurs branches : elle se mit en tête de devenir une grande artisane du monde des douze et elle souhaitait également ouvrir un refuge pour familiers.
Ses grands-parents restés à Bonta l'encouragèrent dans cette voie mais ils lui dirent aussi qu'il ne fallait pas laisser tomber son envie de devenir une héroïne si c'est ce qu'elle voulait vraiment. « Tous les chemins mènent aux Dofus » affirmaient-ils. « Améliore-toi et toi aussi tu brilleras. » Ils lui conseillèrent d'entrer dans une guilde, comme eux quand ils étaient jeunes, car il suffit de trouver la bonne pour progresser et trouver sa place. « Des héros se trouvent dans certaines guildes, tu les reconnaitras quand tu les verras : c'est simple tu voudras leur ressembler ». Suite à ces conseils elle décrocha alors un petit rôle d'acolyte dans plusieurs guildes mais la concurrence et la soif de kamas devenues trop néfaste pour certains l'incitèrent à passer son chemin et à continuer sa quête de guilde.
Un jour, elle lut une annonce qui disait qu'une guilde, « Marchombre », recrutait. Elle avait rencontré auparavant un membre de cette fameuse guilde et il lui avait donné envie de tenter sa chance…
« maîtrise de l'amaknéen ? Ça devrait le faire, je ne viens pas du campement des bworks non plus. »
« aucune limite de cercle ? Aucun CV (conquêtes et victoires) des donjons réussis à fournir ? Mais c'est fantastique pour une petite eni comme moi ! »
Elle continua la lecture du parchemin…
« … la période d'essai dure 2 semaines puis vous devrez réussir une quête. »
« Une quête ?! Mais j'ai jamais eu la moyenne dans cette matière de tout mon apprentissage ! »
Elle s'étala sur le sol tel un Flaqueux² mais se ressaisit vite :
« Moi, abandonner ? Jamais ! C'est décidé : moi aussi je deviendrai une héroïne ! »
« si ça saigne, ça peut se soigner » (proverbe eniripsa)
* plusieurs de mes citations sont des proverbes eniripsas de Les Mains d'Eniripsa de N.Devos et A.Dewaele
² le peuple des Flaqueux dont le héros est Persimol devient liquide comme de la bave à la vue du danger
